tag:blogger.com,1999:blog-56895373485192266452024-02-21T03:45:06.982+01:00E&PPasse-temps musical qui aborde electropop synthpop et tout ce qui tourne autourAxurhttp://www.blogger.com/profile/03903809989385407194noreply@blogger.comBlogger736125tag:blogger.com,1999:blog-5689537348519226645.post-69830185082276318462015-10-26T20:00:00.000+01:002018-04-17T21:44:35.171+02:00Les collaborations de Lydmor.<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh6ZrjoOw1Zg5mlW0DApa5S-auUGP6IFZRSciHqCnfyjU6jpbBwAr9Jt0L0wUOIjDy-cCORm5u6sR6R6pLyZsPdq92Ymtfy62iHNG8jdAX6m-NM2oXo1L_tY_MdtUDl0UR-uIWhXc_XEg/s1600/Lydmor.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh6ZrjoOw1Zg5mlW0DApa5S-auUGP6IFZRSciHqCnfyjU6jpbBwAr9Jt0L0wUOIjDy-cCORm5u6sR6R6pLyZsPdq92Ymtfy62iHNG8jdAX6m-NM2oXo1L_tY_MdtUDl0UR-uIWhXc_XEg/s1600/Lydmor.png" /></a></div><div style="text-align: justify;"><b>Lydmor</b> présenta d'abord un nouveau titre - <i>"I Love You"</i> puis un second album -<b><i> Y</i></b>. Trois ans que rien n'avait filtré sur le fruit du travail de la Danoise. C'est dire qu'elle était occupée à parfaire la transformation de la scène en caisse de résonance efficace pour <b><i>A Pile Of Empty Tapes</i></b> : une tournée nationale au Danemark, des pérégrinations musicales à travers le continent européen, sans oublier une mini tournée en extrême orient. </div><br />
<div style="text-align: justify;">Si cela ne suffisait pas, elle a participé à d'autres morceaux, étoffant ainsi la discographie de ses compatriotes <b>Bottled In England</b> et <b>Bon Homme</b>, posant sa voix sur deux titres du dernier album des Belges d'<b>Arsenal</b> (qui ont repéré la jeune Danoise par l'intermédiaire des premiers cités) et du DJ allemand <b>Alle Farben</b>. Le fruit de ces collaborations, allant du sympathique à plus atypique, aurait pu s’accommoder des sons pop électroniques qui jalonnent A Pile Of Empty Tapes et Y si l'esthétique rêche et l'univers magnétisant façonnant les divers morceaux n'étaient pas si prononcés.</div><br />
<div style="text-align: justify;">Convaincants et excitants, ces titres n'offrent pas de véritable cohésion sonore - ce qui est normal, après tout. Parmi les coups de cœur, l'alchimie entre Bon Homme et Lydmor revisitant les extrêmes dans la vie de couple. Mais aussi, sa omniprésence dans <i>"Temul (Lie Low)"</i> : elle propulse dans les profondeurs sombres et menaçantes de sa folie mystique. Sans doute le traitement le plus abouti.</div><br />
<div style="text-align: center;">Bottled In England feat. Lydmor - The Fire (2013)</div><br />
<div class="video-container" style="text-align: center;"><iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="281" src="https://www.youtube-nocookie.com/embed/LGrUno_XSTU?rel=0" width="500"></iframe></div><br />
<br />
<div style="text-align: center;">Bon Homme feat. Lydmor - Daybreaker (2013)</div><br />
<div style="text-align: center;"><iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="281" src="https://www.youtube-nocookie.com/embed/PIFS8Rv1BjA?rel=0" width="500"></iframe><br />
</div><br />
<br />
<div style="text-align: center;">Bon Homme feat. Lydmor - The Optimist (2013)</div><br />
<div style="text-align: center;"><iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="281" src="https://www.youtube-nocookie.com/embed/o9iZv4Cr394?rel=0" width="500"></iframe><br />
</div><br />
<br />
<div style="text-align: center;">Arsenal feat. Lydmor - Temul (Lie Low) (2014)</div><br />
<div style="text-align: center;"><iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="281" src="https://www.youtube-nocookie.com/embed/vciCJB2nqiM?rel=0" width="500"></iframe><br />
</div><br />
<div style="text-align: justify;">Certaines de ces collaborations vont déboucher sur des nouveaux projets plus conséquents : Lydmor et Bon Homme s'unissent officiellement et forment <b>Lydmor & Bon Homme</b> avec en ligne de mire un album <b><i>Seven Dreams Of Fire</i></b> à paraître en novembre.</div>Axurhttp://www.blogger.com/profile/03903809989385407194noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-5689537348519226645.post-23799750193636980402015-05-09T20:00:00.000+02:002015-05-10T11:09:49.109+02:00Voltaire Twins planifie un Long Weekend<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhZat3CmFb6Jl7aQd_567Dr7Sl95pwOfDeMoN7K3f7_rQchF4iHW4FEFCuoxMwonVrrfCp5zrRA97_Ce02yQW54Vc1p-84KCk7YpJRw08MFlQ2VB_FVVrAqn-pnzJds2HUGIcV6xjsahg/s1600/Voltaire+Twins+-+Long+Weekend.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhZat3CmFb6Jl7aQd_567Dr7Sl95pwOfDeMoN7K3f7_rQchF4iHW4FEFCuoxMwonVrrfCp5zrRA97_Ce02yQW54Vc1p-84KCk7YpJRw08MFlQ2VB_FVVrAqn-pnzJds2HUGIcV6xjsahg/s1600/Voltaire+Twins+-+Long+Weekend.png" /></a></div><div style="text-align: justify;"><b>Voltaire Twins</b> avait offert en ces lieux deux (énormes) coups de cœur : du plus pur style synthétique éthéré entourant <a href="http://www.electrophore.net/2011/08/voltaire-twins-animalia.html" target="_blank"><i>"Animalia"</i></a> au registre pop envoûtant de <a href="http://www.electrophore.net/2012/06/voltaire-twins-apollo-ep.html" target="_blank"><i>"Silhouettes"</i></a>, le duo avait apporté légèreté et ivresse en utilisant des formules préexistantes et mélodie linéaire, ce qui est suffisamment exaltant. Trois EP plus tard, les Australiens se préparent à dévoiler un travail plus conséquent avec <i><b>Milky Waves</b></i>, leur premier album : on sort donc des figures mythologiques que représentent Romulus et Apollon figurant notamment sur les deux derniers EP.</div><br />
<div style="text-align: justify;">Le changement graphique opéré se retrouve un peu dans le son de leur nouveau titre <i>"Long Weekend"</i> jouant à l'occasion sur deux tableaux : l'impression d'euphorie laissée par la traînée disco tranche avec les monotones "It's a lonely place" de Tegan Voltaire, qui, finalement, se laisse entraîner dans les refrains. Pour aller jusqu'au bout, la vidéo se joue de ces contrastes.</div><br />
<div style="text-align: center;"><iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="281" src="https://www.youtube.com/embed/7twSCyl3ot4?rel=0" width="500"></iframe><br />
</div><br />
<div style="text-align: justify;">Le remix proposé par Luke Million ne fait pas dans la demi-mesure : le disco est exacerbé pour, dans le pire des cas, contribuer à mieux transpirer.</div><br />
<div style="text-align: center;"><iframe seamless="" src="https://bandcamp.com/EmbeddedPlayer/album=544979870/size=large/bgcol=333333/linkcol=0f91ff/tracklist=false/artwork=small/track=2401214244/transparent=true/" style="border: 0; height: 120px; width: 500px;"><a href="http://voltairetwins.bandcamp.com/album/long-weekend">Long Weekend by Voltaire Twins</a></iframe></div>Axurhttp://www.blogger.com/profile/03903809989385407194noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5689537348519226645.post-58515155808894911442015-03-01T20:00:00.000+01:002015-03-02T12:04:17.682+01:00A Terrible Splendour en 3 titres<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEibW-P2r-z-67iJ-z9BvJH3aScVhth2-9llkxsyuSE96ITDCAVBM_b-Q5SacyS_5RXMyjPjQW1pOqmushqumEigesCseW_ttXn0_9XAlY7NOwHuxAQx-Tnuf3XJohIgFOGc1eldJvI7qw/s1600/A+Terrible+Splendour+Poseurs.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEibW-P2r-z-67iJ-z9BvJH3aScVhth2-9llkxsyuSE96ITDCAVBM_b-Q5SacyS_5RXMyjPjQW1pOqmushqumEigesCseW_ttXn0_9XAlY7NOwHuxAQx-Tnuf3XJohIgFOGc1eldJvI7qw/s1600/A+Terrible+Splendour+Poseurs.png" /></a></div><div style="text-align: justify;">Les premiers titres de la part de <b>A Terrible Splendour</b> sur format physique se concentraient sur une unique cassette. Même si elle était constituée en grande partie de versions démos, elle avait le mérite de dresser les ambitions de MM Lyle et Martin Block : étendre l'emprise des intrigues mêlant charme et cruauté dans leurs compostions ce que l'on retrouve grandement sur <b>Poseurs</b>, le premier véritable album développé par le duo. Loin d'être anodin, ce terme aux multiples sens cadre exactement l'univers musical et visuel dont se sont emparés les deux Britanniques.</div><br />
<div style="text-align: justify;">À la première écoute, cet attrait n'est pas forcément celui qui se fait le plus remarquer. L'auditeur se retrouve immédiatement polarisé par la musique en premier lieu avec <i>"Forces Darling"</i>. On ne retrouve pas de formule new wave prédéfinie mais une fusion de synthés analogiques et plus modernes conférant au titre d'ouverture un son accrocheur qui en annonce d'autres. </div><br />
A Terrible Splendour - Forces Darling<br />
<iframe frameborder="no" height="166" scrolling="no" src="https://w.soundcloud.com/player/?url=https%3A//api.soundcloud.com/tracks/14747317&color=ff5500&auto_play=false&hide_related=false&show_comments=true&show_user=true&show_reposts=false" width="100%"></iframe><br />
<br />
<div style="text-align: justify;">Si les thèmes traversant cet opus restent parfois opaques, ils le deviennent beaucoup moins en lisant simplement les titres : on retrouve assurément les familiers du genre tel un parfum de guerre froide et de complot dans <i>"The Russians"</i> et <i>"Victimless Crime"</i>. Plus loin, des synthétiseurs et boîtes à rythme font revivre l'ambiance cabaret, mettant en scène des personnages en représentation permanente (<i>"Casting Couch"</i>) et les paroles, comme mises en relief par MM Lyle et notamment par sa prononciation française dans <i>"Garçon Dans Le Vent"</i>, donnent vie à des détails banals : de spectateur à prisonnier, on ne sait plus trop vers quelles obsessions pointe l'ambivalence de <i>"China Doll"</i>.</div><br />
A Terrible Splendour - China Doll<br />
<iframe frameborder="no" height="166" scrolling="no" src="https://w.soundcloud.com/player/?url=http%3A%2F%2Fapi.soundcloud.com%2Ftracks%2F84924063" width="100%"></iframe><br />
<br />
<div style="text-align: justify;">L'abandon de la cassette (aujourd'hui indisponible) au profit du <a href="http://store.desirerecords.com/product/tense-memory-dsr003t-75-copies-only">vinyle</a> et surtout du <a href="http://desirerecords.bigcartel.com/product/the-present-moment-the-high-road-dsr010t">CD</a> n'altère en rien l'authenticité de la musique du duo sans pour autant retomber dans les clichés du genre puisque c'est de ça qu'il s'agit : une impression de romantisme synthétique sans fioritures additionne les témoignages d'un passé ayant inspiré le duo comme elle superpose les ambiances sombres et entraînantes. À ce titre, les effets de ralenti et de mouvements linéaires susceptibles d'être rencontrés sur la piste de danse lors d'un <i>"Slaves To The City"</i> découlent de cet état d'instants figés successifs pour mieux comprendre le temps passé.</div><br />
A Terrible Splendour - Slaves To The City<br />
<iframe frameborder="no" height="166" scrolling="no" src="https://w.soundcloud.com/player/?url=http%3A%2F%2Fapi.soundcloud.com%2Ftracks%2F84923846" width="100%"></iframe>Axurhttp://www.blogger.com/profile/03903809989385407194noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5689537348519226645.post-14374968934930467222014-12-01T20:00:00.000+01:002014-12-01T23:40:56.537+01:00Thermostatic présente son nouvel Animal<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhqfG0CYNmK4tsVpyjppVqYT-C4Yl04XKspz1JkI3bzx8Q87R25m1xSM85vmwET23yXvpNRWMBt5wl_KVk5v3S1XiGb8wHlDOgTFnbPlx-b4Bh8zXg9ikMUKNuN-Wr7hqSP51PPsovwHw/s1600/Thermostatic+-+Animal.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhqfG0CYNmK4tsVpyjppVqYT-C4Yl04XKspz1JkI3bzx8Q87R25m1xSM85vmwET23yXvpNRWMBt5wl_KVk5v3S1XiGb8wHlDOgTFnbPlx-b4Bh8zXg9ikMUKNuN-Wr7hqSP51PPsovwHw/s1600/Thermostatic+-+Animal.png" /></a></div><div style="text-align: justify;">À l'annonce de la dissolution de <b>Thermostatic</b> en 2010, le groupe était officiellement rangé dans la case "revenant que l'on n'attendait pas de sitôt voire jamais". Bien dommage après deux albums dont le dernier <b><i>Humanizer</i></b> avait atterri dans le ce qu'il fallait écouter lors de la décennie précédente. Depuis, on se consolait tant bien que mal de ces arpèges synthétiques glaciales au milieu des harmonies vocodées aériennes et autres sons vidéo-ludiques triturés et pétillants en écoutant en boucle <i>"Far Away"</i>, <i>"Northern Ambulance"</i>, <i>"My Ship"</i> et le reste.</div><br />
<div style="text-align: justify;">Durant ce temps d'inactivité au sein du groupe, les différents membres ne s'étaient pas mis en retraite anticipée de la musique : par exemple, <b>Planet R</b> - ne pas oublier au passage les perles que sont <i><a href="http://www.electrophore.net/2012/11/planet-r-saknadens-saga.html" target="_blank">"Saknadens Saga"</a></i> et <i><a href="http://www.electrophore.net/2013/05/planet-r-forlat.html" target="_blank">"Förlåt"</a></i> , <b>Helm</b> et <b>Carbon Based Lifeforms</b> représentent autant de formations renfermant quelques-uns des membres.</div><br />
<div style="text-align: justify;">Thermostatic se réactive fin 2013. En mars 2014, le joystick si cher au groupe réapparaît officiellement et accompagne même une licorne. Pas étonnant lorsque la chanson de ce retour a pour nom <i>"Animal"</i>. Ce changement est aussi perceptible dans la musique en elle-même : Voix et musique s'enlacent pour se fondre dans une production plus dense qui s'éloigne des sonorités bitpop forgeant l'univers de Thermostatic. Un titre résolument plus sombre et addictif. Livré avec une palette de remixes de bonne facture, ce single incarne les prémices d'une nouvelle aventure avec Thermostatic avec possiblement un album à la clé.</div><br />
<div style="text-align: center;"><iframe seamless="" src="https://bandcamp.com/EmbeddedPlayer/album=2853391335/size=large/bgcol=ffffff/linkcol=63b2cc/artwork=small/transparent=true/" style="border: 0; height: 340px; width: 400px;"><a href="http://thermostatic.bandcamp.com/album/animal">Animal by Thermostatic</a></iframe></div>Axurhttp://www.blogger.com/profile/03903809989385407194noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5689537348519226645.post-44434924512361011192014-02-28T20:00:00.000+01:002014-02-28T23:20:55.859+01:00Music Go Music se relance avec amour<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgFl9F0uBZi1IG_oSvoCXATxghzNc2sk8gsYhB_H3PKLlluTOUYhdVlXUR7414p-wgLInkqR2PVYU6BwTjHNfS24pSoATsZORJjTCDWVWLCiY8tnC0CciKMfkIN6RgANU33cKoEP-sU6Q/s1600/Music+Go+Music+Love+++People.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgFl9F0uBZi1IG_oSvoCXATxghzNc2sk8gsYhB_H3PKLlluTOUYhdVlXUR7414p-wgLInkqR2PVYU6BwTjHNfS24pSoATsZORJjTCDWVWLCiY8tnC0CciKMfkIN6RgANU33cKoEP-sU6Q/s1600/Music+Go+Music+Love+++People.png" height="200" width="400" /></a></div><div style="text-align: justify;">De Gala Bell et ses deux acolytes Kamer Maza et Torg, on se souvient du terrifiant <i>"Warm In The Shadows"</i> et de son opposé <i>"Light Of Love"</i>, mais aussi d'une promotion rondement menée et somme toute traditionnelle associée à leur premier album dans <a href="http://www.youtube.com/watch?v=JgXH38nSdK4" rel="nofollow" target="_blank">Face Time</a>, une émission lointaine et fictive. Ceci se déroulait il y a à peu près 5 ans. Aujourd'hui, à travers <i><b>Impressions</b></i>, <b>Music Go Music</b> s'apprête à offrir un successeur à <i><b>Expressions</b></i>. Un quasi-événement.</div><div style="text-align: justify;"><br />
<i>"Love Is All I Can Hear"</i> et <i>"People All Over The World"</i> confirment que leur musique ne subit pas de changement impromptu : pour effectuer un plan promo à l'identique, le groupe devrait s'inviter, si possible, dans la même émission et changer tout au plus le décor tant les deux titres inédits ne s'éloignent pas trop en surface des sonorités habituelles pop disco. Efficace, la mélodie rétro de <i>"Love Is All I Can Hear"</i> montre pourquoi l'affectation envers Music Go Music est si haute :</div><br />
<center><iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="375" src="//www.youtube.com/embed/3zdEedp0LwI" width="500"></iframe></center><div style="text-align: justify;">Le son plus funky de <i>"People All Over The World" </i>devrait lui aussi en réjouir plus d'un car on se dit que les morceaux lancés en boucle pendant 5 ans lors de soirée ont définitivement trouvé leurs successeurs.</div><br />
Music Go Music - People All Over The World<br />
<iframe frameborder="no" height="166" scrolling="no" src="https://w.soundcloud.com/player/?url=https%3A//api.soundcloud.com/tracks/92408586&color=ff6600&auto_play=false&show_artwork=true" width="100%"></iframe>Axurhttp://www.blogger.com/profile/03903809989385407194noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5689537348519226645.post-69050441157161317782013-10-27T18:00:00.000+01:002014-06-23T00:44:23.297+02:00Byrta | Norðlýsið<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhXVU0Ujkbl9X03Kz2_NcGgW21zbuqq1U3w8vm7d9G7_0IHJ6lbArzT85UGxps5oAjJ0MqDG6tzncD4cvjICeq4Nc70RqDuqXly2vg_9A1cd2fQ3wCabF7QZmj1xDVH2JH1fdOo9OKbRQ/s1600/Byrta+Nor%C3%B0l%C3%BDsi%C3%B0.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhXVU0Ujkbl9X03Kz2_NcGgW21zbuqq1U3w8vm7d9G7_0IHJ6lbArzT85UGxps5oAjJ0MqDG6tzncD4cvjICeq4Nc70RqDuqXly2vg_9A1cd2fQ3wCabF7QZmj1xDVH2JH1fdOo9OKbRQ/s1600/Byrta+Nor%C3%B0l%C3%BDsi%C3%B0.png" /></a></div>
<div style="text-align: justify;">
Les précautions d'usage habituelles ne sont plus de mises lorsque cela concerne <b>Byrta</b> et sa musique (que les pays germanophones auront le plaisir de découvrir bientôt) : Byrta a délivré un opus admirable et pas des moindres. Puisant ses bases dans la pop scandinave et les rondes de synthétiseurs aussi spartiates que planantes, l'humeur éclectique du duo oscille furtivement autour de l'âpreté sonore et de la fluidité de la mélodie. L'immersion est ainsi totale de <i>"Eydnan"</i> jusqu'au poétique <i>"Frosin"</i>.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
En d'autre domaine, Byrta a fait appel à <b>Heiðrik</b> à la réalisation de sa première vidéo en optant pour <i>"Norðlýsið"</i> - au passage, <i>"Vit Falla"</i> et <i>"Loyndarmál"</i> se doivent de subir le même traitement. On y apprend au moins une chose : quand Byrta est de sortie, il n'est pas bon de ne pas inviter lors des soirées sur les îles Féroé. Surtout si Guðrið est accompagnée de sa boule à facette et de sa fourrure. À part ça, ces îles restent un havre de sécurité la nuit.</div>
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="315" mozallowfullscreen="" src="//player.vimeo.com/video/72115114" webkitallowfullscreen="" width="560"></iframe></div>
Axurhttp://www.blogger.com/profile/03903809989385407194noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-5689537348519226645.post-46654697850558307122013-10-04T20:00:00.000+02:002014-06-23T00:44:23.254+02:00Berndsen place la Planet Earth<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgmXzM2u6z1tyC0NdqfXqVV3cWRQKIRbZRmFHSOZACwfYk3E_IZndjQbUtgQ995Ou_X7aqqLKBl27-Gwzire1ZsrMBu8MnXQoBA0psw8nXtXY0xnRxo26jDSJX4ykZB-I_iuv-XmTcidg/s1600/Berndsen+Planet+Earth.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgmXzM2u6z1tyC0NdqfXqVV3cWRQKIRbZRmFHSOZACwfYk3E_IZndjQbUtgQ995Ou_X7aqqLKBl27-Gwzire1ZsrMBu8MnXQoBA0psw8nXtXY0xnRxo26jDSJX4ykZB-I_iuv-XmTcidg/s1600/Berndsen+Planet+Earth.png" /></a></div>
<div style="text-align: justify;">
Du côté de <i><b>Planet Earth</b></i>, l'attente se fait de plus en plus longue mais devrait se dissiper incessamment sous peu : <b>Berndsen</b>, avec l'aide de son compatriote <b>Hermigervill</b>, introduit méticuleusement les dernières finitions à son second album. En tout état de cause, <a href="http://www.electroandpop.com/2013/01/berndsen-game-of-chance.html" rel="nofollow" target="_blank"><i>"Game Of Chance"</i></a> donne peu d'indications sur les changements opérés ; ce nouveau projet perpétue l'environnement analogique cher à l'Islandais tout en s'éloignant des quelques festivités qui remplissent le fabuleux <i><b>Lover In The Dark</b></i>. <br />
<br />
<i>"Planet Earth"</i> qui se trouve aussi être l'un des titres de l'opus va dans le même sens. Un vocoder utilisé sans outrance, une fibre ténue d'italo apaisante et un peu délurée, la touche Berndsen reste bien présente, peut-être extravagante. Même dans cette configuration, la synthpop de Berndsen n'expire pas de poussières.<br />
<br />
Berndsen - Planet Earth<br />
<iframe frameborder="no" height="166" scrolling="no" src="https://w.soundcloud.com/player/?url=http%3A%2F%2Fapi.soundcloud.com%2Ftracks%2F101868837" width="100%"></iframe><br /></div>
<br />
<div style="text-align: justify;">
Entre l'irruption de <i>"Game Of Chance"</i> et la diffusion de <i>"Planet Earth"</i>, <b>Oculus</b> a eu la bonne idée de se réapproprier <i>"Do You Remember"</i>, morceau figurant sur la version européenne de Lover In The Dark. Dans un tout autre style que la synthpop-italo, <i>"Do You Remember"</i> s’entoure d'un spectre sonore mystérieux si bien qu'une vidéo retrace ce nouvel état de fait.</div>
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<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="315" src="//www.youtube.com/embed/Xy0ilU2Wc58" width="560"></iframe></center>
Axurhttp://www.blogger.com/profile/03903809989385407194noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5689537348519226645.post-91239611505067334032013-06-13T17:00:00.000+02:002013-10-30T16:59:19.368+01:00Princess Chelsea | We're So Lost<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgOrMfGft0_FcmXWlV6qqPJ4rUP_BI6LwOwi69RPgjaDPwvvmNyCQigli9-8rzU5iqdOnYhc8nEPBEGee3rJPytgAICvOdxRJ6wbI0IccDBLfxDA295IxJUEn5spBp9T1yhT23hz0IhFw/s1600/Princess+Chelsea+We%27re+So+Lost.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgOrMfGft0_FcmXWlV6qqPJ4rUP_BI6LwOwi69RPgjaDPwvvmNyCQigli9-8rzU5iqdOnYhc8nEPBEGee3rJPytgAICvOdxRJ6wbI0IccDBLfxDA295IxJUEn5spBp9T1yhT23hz0IhFw/s1600/Princess+Chelsea+We%27re+So+Lost.png" /></a></div><div style="text-align: justify;"><b>Princess Chelsea</b> scella <a href="http://www.electroandpop.com/2012/12/princess-chelsea-frack-cigarette-duet.html" rel="nofollow" target="_blank">son merveilleux <i><b>Lil' Golden Book</b></i></a> sur les vidéos de <i>"Frack"</i> et <i>"Caution Repetitive"</i>. Un nouveau chapitre s'ouvre à présent avec un titre inédit, <i>"We're So Lost"</i>. Un inédit de la part de la Néo-Zélandaise, mais pas totalement puisque ce morceau est <a href="http://www.youtube.com/watch?v=9Sstkd-cyrI" rel="nofollow" target="_blank">une reprise</a> de Voom, groupe qui partage le même label Lil' Chief Records.</div><br />
Princess Chelsea - We're So Lost / When The World Turns Grey <br />
<iframe allowtransparency="true" frameborder="0" height="310" src="http://bandcamp.com/EmbeddedPlayer/v=2/album=2424669321/size=grande3/bgcol=FFFFFF/linkcol=0687f5/transparent=true/" style="display: block; height: 240px; position: relative; width: 300px;" width="300"></iframe><br />
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<div style="text-align: justify;">En écoutant <i>"We're So Lost"</i>, le futur, lieu de projection de son second album, ne serait pas tout à fait reluisant. La pochette ne se trompe pas de décor : dans la désolation magnifiée par le lent mouvement d'arpège et du rythme, les lamentations d'une voix prenant de plus en plus de distance jusqu'à en devenir fantomatique, ne peuvent être que plus belles et tristes. La face B, (car il s'agit bien d'un vinyle), <i>"When The World Turns Grey"</i> présente une allure plus conventionnelle venant de Princess Chelsea. Encore que ce titre finit en une berceuse angoissante à laquelle il ne faut pas céder malgré les apparences, à mesure que les notes au piano s'entourent d'effets électroniques étirés et versatiles. Il garde par là le même degré de désillusion que le précédent.<br />
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De la même lignée que les précédentes, la vidéo ne se déroule malheureusement pas sur la Lune ou tout autre astre désolé mais l'idée reste la même.</div><br />
<center><iframe width="560" height="315" src="//www.youtube.com/embed/5xrRi9urn4s" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></center><br />
Disponible aussi bien sur <a href="http://lilchiefrecords.storenvy.com/products/1541450-were-so-lost-7-vinyl" rel="nofollow" target="_blank">vinyle</a> qu'en <a href="http://princesschelsea.lilchiefrecords.com/track/were-so-lost" rel="nofollow" target="_blank">digital</a>.Axurhttp://www.blogger.com/profile/03903809989385407194noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-5689537348519226645.post-31421226569086570522013-06-09T18:00:00.000+02:002014-06-23T00:44:23.220+02:00Byrta | Andvekur <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh9aoGjMROHxSCfxkt_lCkBGhCMAyvilgBgMD2f1R12J_8LTt6bBhs9RoaiFfvhWeMRmPItkKpaygIhrcrZ6NVfLLjkFBBLjo2k6PSKC9-R2_LNg4vr0AqjrtXyTlTlxdSB1UvgrvEOGQ/s1600/Byrta+Andvekur.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh9aoGjMROHxSCfxkt_lCkBGhCMAyvilgBgMD2f1R12J_8LTt6bBhs9RoaiFfvhWeMRmPItkKpaygIhrcrZ6NVfLLjkFBBLjo2k6PSKC9-R2_LNg4vr0AqjrtXyTlTlxdSB1UvgrvEOGQ/s1600/Byrta+Andvekur.png" /></a></div>
<div style="text-align: justify;">
Il y a bien une chose à retenir de <b>Byrta</b> : tant que les pulsations qu'émet <i>"Loyndarmál"</i> sont synchrones avec les palpitations provoquées au cœur, <a href="http://www.electroandpop.com/2013/04/byrta-loyndarmal-eydnan.html" rel="nofollow" target="_blank">la sombre immersion</a> ne sera que totale. Cela ne doit néanmoins pas faire l'impasse sur d'autres atouts tels <i>"Eydnan"</i> et du dernier, <i>"Andvekur"</i>. Histoire justement de montrer la diversité de l'electropop selon Byrta qui occupe une place de choix dans l'album <i><b>Byrta</b></i> (sortie imminente).<br />
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<i>"Andvekur"</i> est différent. Il s'accapare de basses poussant les velléités pop en retrait. Selon leur intensité, l'ambiance devient calme et reposante, magnétique et abrasive que la voix suit tout autant avec charme. Un véritable régal, comme l'album à vrai dire.<br />
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Byrta - Andvekur <br />
<iframe frameborder="no" height="166" scrolling="no" src="https://w.soundcloud.com/player/?url=http%3A%2F%2Fapi.soundcloud.com%2Ftracks%2F92515972" width="100%"></iframe><br />Axurhttp://www.blogger.com/profile/03903809989385407194noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5689537348519226645.post-12866140857978450542013-05-31T19:00:00.000+02:002013-06-01T00:43:47.425+02:00Synthesis crée l'Human<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjZ_FcwTduYi1y6ijkcMuzGHAL_F07Aos4ZP3kI6v76jun7eDVsFZVc1PxK7G-K-dQ0t2USIs8LkDMfj0lkWm0ZN4Usg7F1Mpl63paZCtuxLn07uJ-CnWHQYtzihv-j5-GY-0Wu0qSG5Q/s1600/Synthesis+Human.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjZ_FcwTduYi1y6ijkcMuzGHAL_F07Aos4ZP3kI6v76jun7eDVsFZVc1PxK7G-K-dQ0t2USIs8LkDMfj0lkWm0ZN4Usg7F1Mpl63paZCtuxLn07uJ-CnWHQYtzihv-j5-GY-0Wu0qSG5Q/s1600/Synthesis+Human.png" /></a></div><div style="text-align: justify;">Deborah Kehnen et Michael Galetto : deux personnalités aux bagages musicaux différents prêtes à s'unir dans <b>Synthesis</b>. Implanté dans le Grand-Duché voisin, le duo évoluant dans le label <a href="http://www.chezkitokat.com/" rel="nofollow" target="_blank">Chez Kito Kat Records</a> affiche l'architecture d'apparence classique dans le milieu de la musique synthétisée traditionnelle : lui, contrôle les machines et les synthétiseurs ; elle, chante et s'empare aussi de synthétiseurs. Depuis avril, <b><i>Human</i></b>, un EP de 7 titres expose leurs affinités envers diverses influences et que le duo arrive à fondre élégamment.</div><br />
<div style="text-align: justify;">Le titre d'ouverture, le bien nommé <i>"Synthro"</i>, donne la trame électronique alimentant les morceaux suivants mais ne laisse pas imaginer la diversité y ayant cours. Que ce soit sur <i>"Dear Dear"</i> et son envolée, joliment cadencé, ou dans le coeur incandescent et prenant de Human, <i>"Aching Mind"</i>, des nappes hypnotiques, des pulsations ondulantes recréent des ambiances palpitantes et des moments planants que la voix sert à merveille. L'auditeur voyage d'une atmosphère ténébreuse à une autre tout aussi sombre et parfois plus légère tout en sobriété et efficacité. <br />
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Derrière chaque titre, là où les mélodies dérivent lentement vers trip-hop et un reliquat de sons des années 80 et 90, balançant avec intelligence entre les deux, une résurgence de r'n'b' se fait ressentir. D'abord dans les productions en elles-mêmes joliment travaillées qui titillent agréablement le cercle des émotions et ensuite dans l'utilisation de la voix. Même lorsque la cinétique de <i>"Turn Around"</i> ralentit, la superposition des couches sonores reste en phase avec la sérénité hypnotique de l'ensemble de l’œuvre.<br />
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Au travers du climat distant de <i>"The One"</i>, des impeccables <i>"Lifeline"</i> et <i>"Nana"</i>, on se rend finalement compte que<i> </i>la puissance de cet EP se concentre dans sa diversité : comme tout humain, son âme n'est aucunement diluée et tiraillée entre plusieurs sons et ses différentes facettes parfaitement contrôlées dévoilent la véritable profondeur de Human. Ce qui en fait une réussite de bout en bout.</div><br />
<center><iframe allowtransparency="true" frameborder="0" height="410" src="http://bandcamp.com/EmbeddedPlayer/v=2/album=188786104/size=grande3/bgcol=FFFFFF/linkcol=4285BB/" style="display: block; height: 410px; position: relative; width: 300px;" width="300"></iframe></center><br />
<div style="text-align: justify;">Il est fort recommandé d'avoir en sa possession cet EP, d'autant plus qu'il existe en <a href="http://synthesisband.bandcamp.com/album/human-ep" rel="nofollow" target="_blank">CD</a>. </div>Axurhttp://www.blogger.com/profile/03903809989385407194noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-5689537348519226645.post-56385857465914861402013-05-24T17:00:00.000+02:002014-12-01T23:32:45.288+01:00Planet R | Förlåt<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiBuAgTikMTytFSRILGiRZIIjPbCif8xDYOWO0YQxfn6RGOqMBS_Lo_25W5wXSZ07AirEHyszDvhPo0BXqpzP3Dj3fD95O1_FFXJYc-ZLZNEB0o0ibTxRelCPjCGwzSPF5rhAkpZ8x5BQ/s1600/Planet+R+Forlat.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiBuAgTikMTytFSRILGiRZIIjPbCif8xDYOWO0YQxfn6RGOqMBS_Lo_25W5wXSZ07AirEHyszDvhPo0BXqpzP3Dj3fD95O1_FFXJYc-ZLZNEB0o0ibTxRelCPjCGwzSPF5rhAkpZ8x5BQ/s1600/Planet+R+Forlat.png" /></a></div><br />
<div style="text-align: justify;">Des nouvelles réjouissantes de la part de <b>Planet R</b> : le premier EP de Elin Andersson et Louise Marchione connaîtra très probablement un successeur étant donné que depuis <i><b><a href="http://www.electroandpop.com/2012/03/planet-r-glomda-drommar-ep.html" rel="nofollow" target="_blank">Glömda Drömma</a></b></i>, deux morceaux, <i>"Saknadens Saga"</i> et le tout récent <i>"Förlåt"</i>, ont fait leur apparition ce qui laisse entrevoir la parution d'un autre EP ou plus ambitieux encore d'un album. </div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">La trame synthétique de Planet R ne finit pas de s'enrichir :<i>"Förlåt"</i> est en mesure de laisser deviner le suédois sans vraiment le percer comme cela fut déjà le cas avec <a href="http://www.electroandpop.com/2012/11/planet-r-saknadens-saga.html" rel="nofollow" target="_blank">"Saknadens Saga"</a>. Sans oublier l'aspect entraînant du titre, l'affinité entre la voix et des sons claires et des synthés saillants immerge l'auditeur dans un moment de passation entre malaise et recueillement. Du beau Planet R.</div><br />
Planet R - Förlåt<br />
<iframe frameborder="no" height="166" scrolling="no" src="https://w.soundcloud.com/player/?url=http%3A%2F%2Fapi.soundcloud.com%2Ftracks%2F93325259" width="100%"></iframe><br />
Axurhttp://www.blogger.com/profile/03903809989385407194noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5689537348519226645.post-82992016471689136642013-05-17T17:00:00.000+02:002013-05-18T17:05:53.015+02:00Sin Cos Tan s'invente une Histoire<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiJpUlZyuWWeRNS1lw64zJAgmxA9K-1sAh2-9ZS2E1o69vv4YBypvgxCihi6D2RLZlPkf0MyDzLD928nvnr2un-RDc2v2iu7hVcJXDWVioLXozlmffEVxIpLMWzcRQyPg3TIf6Pu_iIzA/s1600/Sin+Cos+Tan+History.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiJpUlZyuWWeRNS1lw64zJAgmxA9K-1sAh2-9ZS2E1o69vv4YBypvgxCihi6D2RLZlPkf0MyDzLD928nvnr2un-RDc2v2iu7hVcJXDWVioLXozlmffEVxIpLMWzcRQyPg3TIf6Pu_iIzA/s1600/Sin+Cos+Tan+History.png" /></a></div><div style="text-align: justify;">Tout prétexte est bon à prendre lorsqu'il s'agit de lancer un nouveau morceau sur vinyle. Par exemple, la sortie de ce dernier aurait pu coïncider peu ou prou avec la journée du récent Record Store Day mais ce ne fut pas le cas. Les concernés étaient le duo <b>Sin Cos Tan</b> et son titre <i>"History"</i>. Pas vraiment un inédit donc. Néanmoins, ce morceau se présente sur vinyle dans une nouvelle version en compagnie de <i>"Calendar"</i> et de <i>"Trust"</i> subissant le même traitement soit à travers une version plus longue soit retravaillé par les mains d'un autre.</div><br />
L'album recèle de nombreux titres aux mélodies électroniques ciselées : les <i>"Trust"</i>, <i>"Sooner Than Now"</i>, <i>"In Binary"</i> et autres entretiennent dans un enchaînement naturel un climat anxiogène, romantique, désabusé, enthousiasmant submergé par les synthés. <i>"History"</i> en fait partie. La vidéo reprend tous ces éléments, la religion et signes ésotériques en plus.<br />
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<center><iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="233" mozallowfullscreen="" src="http://player.vimeo.com/video/64530681?color=c9ff23" webkitallowfullscreen="" width="560"></iframe></center>Axurhttp://www.blogger.com/profile/03903809989385407194noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5689537348519226645.post-28820200055257353642013-05-13T17:00:00.000+02:002014-06-23T00:44:23.214+02:00Le Couleur se remémore les Vacances De 87<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiJKFdgH2D_gfELlozpOI0w7jjyJTvUIE3P1xhFIyHc0-vwFcvrWU8DX8W3VgJzZhmQ_Ax45FoGRUPtO_IlQat_vC6b_ZicLMTTV4TPU5QuYMeIPHyb3OUV4OoB_kwuhb81DfTKNgOB7w/s1600/Le+Couleur+Voyage+Love.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiJKFdgH2D_gfELlozpOI0w7jjyJTvUIE3P1xhFIyHc0-vwFcvrWU8DX8W3VgJzZhmQ_Ax45FoGRUPtO_IlQat_vC6b_ZicLMTTV4TPU5QuYMeIPHyb3OUV4OoB_kwuhb81DfTKNgOB7w/s1600/Le+Couleur+Voyage+Love.png" /></a></div><div style="text-align: justify;">En intitulant un nouvel EP de cinq titres <i><b>Voyage Love</b></i> (disponible <a href="http://lisbonluxrecords.com/vinylscds.cfm" rel="nofollow" target="_blank">en vinyle</a>), le groupe <b>Le Couleur</b> ne pouvait pas ne pas mettre sa musique pop au service de la rêverie, de l'amour, l'insouciance. Des basses à consonances disco par ci, des mélodies à la sensualité troublante par là, des paroles ambiguës distillées par une voix aérienne entre, l'envie de bouger se fait plus que ressentir dès la première écoute. C'est cela, Voyage Love - dans lequel on retrouve également une nouvelle version de <i>"Petit Piano Electrique"</i>.</div><br />
<div style="text-align: justify;">Sur fond d'ambiance rétro en compagnie de <b>French Horn Rebellion</b>, <i>"Vacances de 87"</i> assure efficacement la promotion de cette electropop radieuse et colorée à travers un duo évoquant une romance de vacances, les vacances de romance, les deux en même temps. On en profite aussi de se laisser atteindre par la légère ivresse du rythme. Qui plus est, cette histoire se transpose en une version cathotique qu'Antenne 2 n'aurait pas refusé en son temps sous des mœurs libérées</div><br />
<center><iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="315" mozallowfullscreen="" src="http://player.vimeo.com/video/62497726" webkitallowfullscreen="" width="560"></iframe></center>Axurhttp://www.blogger.com/profile/03903809989385407194noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-5689537348519226645.post-13928522348031243262013-05-03T17:15:00.000+02:002014-06-23T00:44:23.180+02:00Stripmall Architecture | Commuter<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiDnfAsCnOH5n9Bulcyl1JjewxwCWYxIIjoQPA6Vc2I2m21PBAtpq0AMdZ5wK_o4tlRCeQXwtHtcA4OGNwatzObXKemDUCBh6ez-tjZT-KOvNmpXxbZ4RVSxmlt6l8x_u7k12VzFk4sFQ/s1600/Stripmall+Architecture+Commuter.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiDnfAsCnOH5n9Bulcyl1JjewxwCWYxIIjoQPA6Vc2I2m21PBAtpq0AMdZ5wK_o4tlRCeQXwtHtcA4OGNwatzObXKemDUCBh6ez-tjZT-KOvNmpXxbZ4RVSxmlt6l8x_u7k12VzFk4sFQ/s1600/Stripmall+Architecture+Commuter.png" /></a></div><div style="text-align: justify;">Des huit morceaux composant <i><b>Suburban Reverb</b></i> (à découvrir le 18 juin), on connaissait jusqu'à présent le magnétique <i>"We Are No Cool"</i> et <i>"Jetset Friends"</i> dans sa <a href="http://www.youtube.com/watch?v=61LwRx5gjQU" rel="nofollow" target="_blank">forme live</a> ou bien à travers un <a href="http://www.youtube.com/watch?v=61LwRx5gjQU" rel="nofollow" target="_blank">extrait de la version studio</a> - au choix. Désormais, <i>"Commuter"</i> complète, pour ainsi dire, la nouvelle approche musicale ponctuant ce nouvel opus ficelé en toile de fond autour d'histoires de la vie périurbaine.<br />
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Avec un morceau comme <i>"Commmuter"</i>, ce thème ne pouvait qu'être pleinement abordé : la cohésion de ce titre légèrement voilé est garantie par une boîte à rythme faisant écho à des claviers en suspension. Et cela, jusqu'à ce que la routine s'efface en même temps que les sonorités aériennes s'affirment devant l'extravagance. À ce jeu, la production arrive à ce que l'on se focalise sur un ennivrement passager, sans trop y prêter attention. C'est ce que l'on retrouve dans la vidéo.</div><br />
<center><iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="315" mozallowfullscreen="" src="http://player.vimeo.com/video/63347210?title=0&byline=0&portrait=0&color=ffffff" webkitallowfullscreen="" width="560"></iframe></center>Axurhttp://www.blogger.com/profile/03903809989385407194noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5689537348519226645.post-20230123163942129802013-04-29T14:15:00.001+02:002014-06-23T00:44:23.204+02:00Coup de cœur : Byrta<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="http://2.bp.blogspot.com/-jQ-HPd5ulCU/UXP8sRbjXYI/AAAAAAAACWg/OsK11n1zNxk/s1600/Byrta.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="http://2.bp.blogspot.com/-jQ-HPd5ulCU/UXP8sRbjXYI/AAAAAAAACWg/OsK11n1zNxk/s1600/Byrta.png" /></a></div><div style="text-align: justify;"><b>Byrta</b> s'immisce en tant que nouveau venu sur la scène eletropop ; ses membres, en revanche, le sont beaucoup moins : elle, Guðrið Hansdóttir, chanteuse aux accents folk ; lui, Janus Rasmussen, connu pour sa participation dans le groupe islandais Bloodgroup. Des îles Féroé, ils tiennent leurs textes exclusivement en féringien. La collaboration entre la chanteuse et le producteur aboutira à un album dont deux titres <i>"Loyndarmál"</i> et <i>"Eydnan"</i> confortent l'idée qu'elle portera sur la rencontre d'élégantes fusions entre la pop scandinave et la musique électronique, les deux n'étant pas, par nature, si étrangers l'un de l'autre.<br />
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Premier titre, première sollicitation entêtante et premier coup de coeur. <i>"Loyndarmál"</i> abrite une production electropop fascinante en harmonie avec le timbre de voix. Les incantations électroniques s’étirent sur une mélodie irrégulière dont le sursaut perçu dans le refrain est la conclusion logique. Le fait que la langue soit impénétrable renforce l'emprise de la mélodie.</div><br />
Byrta - Loyndarmál<br />
<iframe frameborder="no" height="166" scrolling="no" src="https://w.soundcloud.com/player/?url=http%3A%2F%2Fapi.soundcloud.com%2Ftracks%2F77941035" width="100%"></iframe><br />
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<div style="text-align: justify;">À travers le second morceau <i>"Eydnan"</i>, on décèle dans cette aventure musicale une empreinte hautement dansante. La pénombre s'engouffre, des lueurs persistent et voilà Byrta imposer un rythme fluctuant qu'il faut suivre par des basses omniprésentes. Même lors de leur apaisement, des moments d'éclat synthétisés surviennent en même temps que la voix prend de l'ampleur. On se laisse finalement amadouer lors de cette incursion à peine voilée vers la piste et c'est tant mieux.</div><br />
Byrta - Eydnan<br />
<iframe frameborder="no" height="166" scrolling="no" src="https://w.soundcloud.com/player/?url=http%3A%2F%2Fapi.soundcloud.com%2Ftracks%2F86019370" width="100%"></iframe><br />
Axurhttp://www.blogger.com/profile/03903809989385407194noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5689537348519226645.post-65707205607486954322013-04-24T17:00:00.000+02:002013-04-25T08:37:43.957+02:00Gold Zebra établit un Invisible Disorder<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="http://4.bp.blogspot.com/-ZMB0VI3qv2g/UXP7Z_3hEhI/AAAAAAAACWY/hd_cNxJqjmg/s1600/Gold+Zebra+Invisibl+Disorder.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="http://4.bp.blogspot.com/-ZMB0VI3qv2g/UXP7Z_3hEhI/AAAAAAAACWY/hd_cNxJqjmg/s1600/Gold+Zebra+Invisibl+Disorder.png" /></a></div><div style="text-align: justify;">La dernière fois que <b>Gold Zebra</b> voulut montrer son attraction envers un disco particulièrement noir, il produisit <i>"Dark Musique"</i> : paru l'année dernière, ce dernier occupait la face d'un vinyle de Visage Musique, l'autre étant dévolue aux Golden Filter. Le duo le démontre à présent sur un nouveau titre intitulé <i>"Invisble Disorder"</i>. Il ne vient pas tout seul : il annonce la sortie prochaine du premier album du duo. On ne peut décidément que se réjouir de voir prochainement la déclinaison de son savoir-faire.</div><br />
<div style="text-align: justify;">Dans une trame résolument analogique de 8 minutes, <i>"Invisble Disorder"</i> puise son magnétisme trompeur dans un disco décharné qui se propage lentement : les couches successives synthétiques se mettent en place élégamment imprégnées par la menace de basses furtives. Jusqu'à que cette structure quasiment sculptée révèle l'ambiance sinistre que suggère la voix en retrait et désabusée de la chanteuse. Sans quoi, cette histoire, la nuit, n'aurait pas de prise pas.</div><br />
Gold Zebra - Invisible Disorder<br />
<iframe frameborder="no" height="166" scrolling="no" src="https://w.soundcloud.com/player/?url=http%3A%2F%2Fapi.soundcloud.com%2Ftracks%2F83709103" width="100%"></iframe><br />
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<div style="text-align: justify;">Et bien sûr, en téléchargement gratuit sur <a href="http://goldzebra.bandcamp.com/track/invisible-disorder" rel="nofollow" target="_blank">la page bandcamp</a> de Gold Zebra.</div>Axurhttp://www.blogger.com/profile/03903809989385407194noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5689537348519226645.post-41165276196769221942013-04-19T18:00:00.000+02:002014-06-23T00:44:23.245+02:00Sally Shapiro | If It Doesn't Rain<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhe0AhHakHysCUoSnFeLDGSwL5ruOyR_MpCbNQCcAZKMKyblbjkceL69MtRh7FjrI-lKWIijQI6lxqVvBYrjKg0Rj9Y95ESiYmTUqkqL77acaan14eHXiLapjBhYn7XjPSnWHMiIRtKmA/s1600/Sally+Shapiro+If+It+Doesnt+Rain+Tonight.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhe0AhHakHysCUoSnFeLDGSwL5ruOyR_MpCbNQCcAZKMKyblbjkceL69MtRh7FjrI-lKWIijQI6lxqVvBYrjKg0Rj9Y95ESiYmTUqkqL77acaan14eHXiLapjBhYn7XjPSnWHMiIRtKmA/s1600/Sally+Shapiro+If+It+Doesnt+Rain+Tonight.png" /></a></div><div style="text-align: justify;"><i>"All My Life"</i> et <i>"If It Doesn't Rain"</i>. Deux morceaux qu'il faut avoir écouter dans le dernier opus de <b>Sally Shapiro</b>. Deux morceaux montrant que Sally Shapiro n'expose pas son italo en vitrine comme des reliques dépoussiérés à l'occasion. Deux morceaux trépidants rappelant que le duo n'usurpe pas son titre de maître en la matière. Car, en fin de compte, cela ne doit pas occulter le virage pop indé entrepris dans l'ensemble de <b><i>Somewhere Else</i></b> (qui, au demeurant, se passe relativement bien et sans cassure) même si des bribes d'italo ont été conservés à chaque recoin. Les prémices d'une émancipation et une évolution progressive prévisible des sensibilités des deux Suédois.</div><br />
<div style="text-align: justify;">En particulier, une vidéo illustrant <i>"If It Doesn't Rain" </i>développe un moment enchanteur à l'image de ce qu'offre le titre. Voix douce, conte d'un autre temps, il n'en fallait pas plus pour succomber à cette animation.</div><br />
<center><iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="315" mozallowfullscreen="" src="http://player.vimeo.com/video/64072142" webkitallowfullscreen="" width="560"></iframe></center>Axurhttp://www.blogger.com/profile/03903809989385407194noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5689537348519226645.post-62398622974479063352013-04-17T17:00:00.000+02:002014-06-23T00:44:23.281+02:00Rendezvous s'imagine l'Egypt<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="http://2.bp.blogspot.com/-lX4dmcdNYGI/UWqJ1IhhfSI/AAAAAAAACVA/hshV6XAPRJo/s1600/Rendezvous+Egypt.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="http://2.bp.blogspot.com/-lX4dmcdNYGI/UWqJ1IhhfSI/AAAAAAAACVA/hshV6XAPRJo/s1600/Rendezvous+Egypt.png" /></a></div>
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L'option de la semaine : <b>Rendezvous</b> offre toujours <i>"Egypt"</i> <a href="http://store.rendezvousmusic.co.uk/track/egypt" rel="nofollow" target="_blank">en téléchargement</a>. Pour rappel, ce morceau fait partie du premier album du duo, <i><b>Another Round Please</b></i> livré par leur soin il y a un peu plus d'un an. Sur ce morceau, le duo s'empare et impose de sonorités orientalisantes et électroniques à tous les niveaux. On imagine aisément les effets d'un jeu kaléidoscopique entre les deux : les lignes se font plus ou moins longues, s'entrecroisent, planent et ouvrent la porte des rêves dans les nuances qu'elles apportent par touche successive. Et toujours sans paroles.</div>
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Une fois de plus, le duo a fait appel à une animation ayant pour thème la création, <a href="http://www.electroandpop.com/2011/12/rendezvous-murf-c-sharp.html" rel="nofollow" target="_blank">d'une autre nature que celle employé pour illustrer<i> "C Sharp"</i> et <i>"The Murf"</i></a>. Le seul point commun entre les trois pourrait être l'espace et l'évasion.</div>
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<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="315" mozallowfullscreen="" src="http://player.vimeo.com/video/23719358" webkitallowfullscreen="" width="560"></iframe></center>
Axurhttp://www.blogger.com/profile/03903809989385407194noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5689537348519226645.post-40885676270397131812013-04-12T15:20:00.000+02:002013-04-17T22:09:59.153+02:003 titres de l'odyssée Theremynt <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiu3TB_gHEY0SIwfFZgEIeO1Zba0OHxkFV_yqKvDMuEUS85fviHc2ceimjsk13XUVLLTWjYXSiKKJlC1B57aASSpdS55aIEQY9cVt5_WZ2pLlRDxn_M2a7cILPx_TPaQyjQewIPjhfLow/s1600/Theremynt+Space+Control.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiu3TB_gHEY0SIwfFZgEIeO1Zba0OHxkFV_yqKvDMuEUS85fviHc2ceimjsk13XUVLLTWjYXSiKKJlC1B57aASSpdS55aIEQY9cVt5_WZ2pLlRDxn_M2a7cILPx_TPaQyjQewIPjhfLow/s1600/Theremynt+Space+Control.png" /></a></div>
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<b>Theremynt</b> : nom apparemment dérivé de ce merveilleux instrument qui délivre invariablement un son vibrant et sensiblement spectral. Yann Richard et Eva Peel en ont fait l'identité de leur duo, bien que n’utilisant pas les possibilités offertes par cet instrument. Plus qu'une collaboration, Theremynt voue un culte pour une musique électronique dont les sonorités se déclinent du disco au krautrock sans tomber dans la caricature. À ce jour, un titre, un maxi, un album... partagés en 3 titres.<br />
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Theremynt fait paraître son premier titre <i>"Wonder"</i> sur <a href="http://www.neopren-records.com/releases/neo020/" rel="nofollow" target="_blank">une compilation de musique électronique</a> chez Neopren Records, leur repère. L'ambiance est donnée : décollage vertical vers la science-fiction, et sortie progressive l'obscurité. Ce mouvement graduel d'une lame de fond synthétique, longue et linéaire entouré de sons tantôt rebondissants, tantôt tranchants se rencontre assez fréquemment.</div>
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<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="315" src="http://www.youtube.com/embed/gUiMNEstAmM" width="560"></iframe></center>
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Theremynt transperce le firmament à la sortie de son premier maxi, <i><b>Silenzio</b></i>. On retrouve cette froideur désormais bien connue sur des basses plus profondes et étirée par des nappes inquiétantes. Pénétrant une mélodie éthérée aux fortes consonances de disco cosmique décéléré, la voix hypnotisante d'Eva Peel distille des paroles mystérieuses sur un chant italien. Loin de comprendre, on écoute néanmoins avec une grande dévotion. Et le satellite est définitivement lancé.</div>
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<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="315" src="http://www.youtube.com/embed/VstiTV7t4HQ" width="560"></iframe></center>
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Dès la parution de <i><b>Space Control</b></i>, le doute n'est plus permis : Theremynt se fait conducteur d'une odyssée spatiale, en partant de la stratosphère jusque dans les recoins infinis qu'offrent l'univers et les sons synthétisés. Les mélodies sont propulsées dans un large spectre mêlant différentes influences de musique électronique et des hommages (<i>"Rachel Rosen"</i>) à travers lesquels Eva Peel et Yann Richard s'amusent et fusionnent au sein de compostions mélodieuses, énergiques, mystérieuses et hallucinogènes. Parmi les formules qui claquent (<i>"Scale"</i>) et effets euphorisants, il est plus question de considérer l'espace comme échappatoire aux turpitudes terrestres et non comme exploration avec toujours un souci du détail occasionnant le détachement, le vertige. Avec peu d'audace finalement.<br />
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On a apprend aussi que le duo est adepte des reprise mais pas n'importe lesquelles et pas à n'importe quel prix. Dans le registre pop, la reprise féminisée de <i>"Mary & Johnny"</i> occupe sans conteste une place de choix.</div>
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<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="315" src="http://www.youtube.com/embed/-UORuMSTgeg" width="560"></iframe></center>
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Qui plus est, Space Control se décline aussi bien en <a href="http://www.deejay.de/Space_Control__102696" rel="nofollow" target="_blank">vinyle</a> qu'en <a href="http://www.deejay.de/Space_Control__100145" rel="nofollow" target="_blank">CD</a>.Axurhttp://www.blogger.com/profile/03903809989385407194noreply@blogger.com3tag:blogger.com,1999:blog-5689537348519226645.post-19405075081886509382013-04-03T20:00:00.000+02:002013-04-04T08:10:15.179+02:00Julian & Marina se déclare(nt) Old Fashioned<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="http://4.bp.blogspot.com/-nRbhTKO7sI4/UVs3kifdKZI/AAAAAAAACUg/eR-I1pm9kh0/s1600/Julian+&+Marina+Old+Fashioned.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="http://4.bp.blogspot.com/-nRbhTKO7sI4/UVs3kifdKZI/AAAAAAAACUg/eR-I1pm9kh0/s1600/Julian+&+Marina+Old+Fashioned.png" /></a></div>
<i><b>Distance</b></i> succèdera bien à la merveille qu'est <i><b>Absence</b></i>. Dans le courant de ce mois-ci apparemment. Cinq titres orneront une fois de plus ce nouvel EP de <b>Julian & Marina</b> Des changements sont quand même à relever : la pochette a viré du bleu à une saturation du rouge et l'ambiance rétro est plus qu'assumée - cette photo extraite de la bien nommée Opuim Session en est la preuve. Le duo la porte aussi bien dans leur costume que dans leur musique. C'est à se demander ce que le duo aurait pu sortir si Julian Brandt et Marina Schiptjenko s'étaient rencontrés durant les années folles.<br />
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Côté titre, <i>"Count The Stars"</i>, cadeau éphémère de la part du duo, a été retiré de la circulation. Bien dommage... Depuis, un extrait du morceau d'ouverture de l'EP, <i>"Old Fashioned"</i>, affiche un rythme plutôt emballant que l'ensemble d'Absence (excepté <i>"Blockin The Line"</i>) tout en conservant la signature du duo : une synthpop rêveuse à l'éclat discret dans la production.</div>
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Julian & Marina - Old Fashioned<br />
<iframe frameborder="no" height="166" scrolling="no" src="https://w.soundcloud.com/player/?url=http%3A%2F%2Fapi.soundcloud.com%2Ftracks%2F83415606" width="100%"></iframe><br />Axurhttp://www.blogger.com/profile/03903809989385407194noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5689537348519226645.post-282238274879080852013-04-01T17:00:00.000+02:002013-04-01T23:00:07.627+02:00Eivør | True Love<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgbrsO-ijVMIzJIxXTu9Hp_0OnJdHgaNBCClX75x6W5fAwsmV03Of8YCJ4O4ETg6S2xmuFGAftqHSL5LtXv2b1Hwm_WXAz7i63IabMrORATYNsebTKqgf2DAzlv5INyQK35EcQIFfrvDQ/s1600/Eivor+True+Love.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgbrsO-ijVMIzJIxXTu9Hp_0OnJdHgaNBCClX75x6W5fAwsmV03Of8YCJ4O4ETg6S2xmuFGAftqHSL5LtXv2b1Hwm_WXAz7i63IabMrORATYNsebTKqgf2DAzlv5INyQK35EcQIFfrvDQ/s1600/Eivor+True+Love.png" /></a></div><div style="text-align: justify;">En passant de <b><i>Larva</i></b> à <i><b>Room</b></i>, Eivør a renforcé le lien entre la musique traditionnelle des ses îles natales et les transgressions rock parfois imposantes qu'elle avait entrepris sur son dernier album : ses compositions se retrouvent encore plus éclectiques et épurées, imprégnées tour à tour de jazz, pop, folk ... mais surtout, <b>Eivør</b> expire sur ce disque intimiste et désarmant ses sentiments et impressions lors de la perte de quelque chose de précieux et qu'elle relie par exemple à l'attente du printemps, au flot d'une rivière entrant en crue. L'ennui n'accompagne pas le calme et la sérénité des lieux que présente l'artiste ; au lieu de cela, une fois cet opus écouté, on se sent revigoré et non ankylosé.</div><br />
<div style="text-align: justify;"><i>"True Love"</i> renferme un des moments les plus poétiques de Room tant au niveau du texte que de la composition ; les interactions entre l'amour et la mort dans une vie façonnent le rythme jusqu'à cette fin particulièrement enivrante et mélancolique où le souhait d'Eivør (<i>"My true lover is with me"</i>) se réalise. Ce que Heiðrik a subliment mis en image lors d'une rencontre entre la Mort et une jeune femme.</div><br />
<center><iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="315" mozallowfullscreen="" src="http://player.vimeo.com/video/61830828?badge=0" webkitallowfullscreen="" width="560"></iframe></center>Axurhttp://www.blogger.com/profile/03903809989385407194noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5689537348519226645.post-35557427289838898922013-03-06T20:00:00.000+01:002013-03-09T16:33:40.641+01:00Clockwork Orchestra | Friends Without Names<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh6EjrQ_hWm6K4NeJZpd1Lq4mT9MbmLG8uTIBAzgsc8KoHlMegTbP2fbnM2MdG1oKjMKUoBV4yKHzqXKEdC_70rdfdUqWdzCyPbUj9oJNZ6wHBHrn88xtNdHVI1jekeg2V2nJknraUcHw/s1600/Clockwork+Orchestra+Friends+Without+Names.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh6EjrQ_hWm6K4NeJZpd1Lq4mT9MbmLG8uTIBAzgsc8KoHlMegTbP2fbnM2MdG1oKjMKUoBV4yKHzqXKEdC_70rdfdUqWdzCyPbUj9oJNZ6wHBHrn88xtNdHVI1jekeg2V2nJknraUcHw/s1600/Clockwork+Orchestra+Friends+Without+Names.png" /></a></div><div style="text-align: justify;">Ne pas penser de cette pochette - une radiographie d'animaux comme envoûtés autour d'un feu - que<i> <b>Friends Without Names</b></i> ne dispose d’une bonne dose d'innocence fait passer à côté de l'objectif de l'album ainsi que l'écoute qui suit par la même occasion. C'est en partie vrai puisque <b>Clockwork Orchestra </b>en distille au gré d'histoires aussi farfelues les unes que les autres. Mais cela serait trop simple : l'Irlandais y décline son expérience personnelle sous diverses sensibilités, principalement une naïveté exacerbée. Il fait ça de manière indirecte : il transpose le musicien qu'il est en écrivain en manque d'inspiration dans <i>"The Book That Won't Be Read"</i>. Il fait ça aussi de manière excentrique : il ose appeler un titre <i>"Strawberries And Blueberries"</i> (réarrangement de feu <i>"Heaven Or Helsinki"</i>). De manière étrange aussi en invoquant des squelettes (<i>"Skeleton Skeleton"</i>). Quand il choisit de partager, il ne se prive de rien.<br />
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En bon saltimbanque, Paul Mangan jongle entre ses jouets électroniques dépassés et des instruments traditionnels. Et un équilibre savamment calibré fait son œuvre, à base de mélodies aussi incisives que divagantes. Ce qu'il fait n'est pas un genre nouveau : il exploite tout ce qu’offre de bon la pop que l'Irlandais a revigoré par l'utilisation débridée du 8-bit : en quelque sorte, il redonne vie à des airs vieillots tirés de fête foraine certes d'apparence macabre et désormais tombés dans l'oubli. C'est dans cet environnement que s'anime une voix tremblante dans <i>"Metamorphosis"</i>, que <i>"Accident"</i> et <i>"Paper Purse"</i> effleurent la frontière de l'expérimental sans le heurter, que le dynamisme de <i>"Zebedee"</i> et la frénésie de <i>"Black Ice"</i> rendent ces morceaux instantanés, rappelant au passage qu'il fournit aussi les musiques de bal. Tout n'est question que de greffe, après tout.</div><br />
<div style="text-align: justify;">La contre-partie regrettable de ce bouillonnement s'illustre dans la cohésion générale : cette dernière pâtit fortement du manque d'enchaînement naturel qui lie les titres, rôle néanmoins dévolues aux pistes instrumentales. Car, sous les airs baroques de l'ensemble, ces dernières, <i>"As The Whirligig Spins"</i> et <i>"Mummer"</i>, servies de mélodies ciselées, délicates et d'une autre dimension, forment la synthèse finale de cette association sonore improbable et réussie : la progression avec grâce de la mélodie de <i>"Mummer"</i> rend compte de la poésie habitant les histoires de Clockwork Orchestra. Tout en s'amusant, bien évidemment.</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">L'album est en écoute (et à acheter en physique) sur <a href="http://clockworkorchestra.bandcamp.com/album/friends-without-names" rel="nofollow" target="_blank">la page bandcamp</a> de l'artiste.</div><br />
<center><iframe allowtransparency="true" frameborder="0" height="100" src="http://bandcamp.com/EmbeddedPlayer/v=2/album=2999640951/size=venti/bgcol=FFFFFF/linkcol=4285BB/" style="display: block; height: 100px; position: relative; width: 400px;" width="400"></iframe></center>Axurhttp://www.blogger.com/profile/03903809989385407194noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5689537348519226645.post-87585439776815682622013-02-28T20:00:00.000+01:002013-03-01T21:19:51.997+01:00Le début de règne de Love And Radiation<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="http://2.bp.blogspot.com/-C5r3aztWJUA/US5w_Lh1eSI/AAAAAAAACP8/SnXyPmx4yE4/s1600/Love+And+Radiation+Three+Kingdoms.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="http://2.bp.blogspot.com/-C5r3aztWJUA/US5w_Lh1eSI/AAAAAAAACP8/SnXyPmx4yE4/s1600/Love+And+Radiation+Three+Kingdoms.png" /></a></div><div style="text-align: justify;"><i>"Three Kingdoms"</i>, le nouveau titre de <b>Love And Radiation</b>, ne fait que confirmer ce que l'on avait pressenti sur <i>"Ganymede"</i> : l'electropop dénaturée du duo avec, dans le cas présent, une tendance rétro plus accentuée, fait partie intégrante de leur univers de contes de fées glauques et entraîne dans son sillage une cinétique bien présente. Elle entretient des liens troubles avec un monde mystique : l'auditeur est contraint de suivre les instructions de voix obscures qui ordonne évidemment une danse cérémoniale. Il faut être dans un état fiévreux pour les entendre.</div><br />
<div style="text-align: justify;">L'album <i><b>You Will Know Me</b></i>, prévu en avril, ne pourra qu'être intéressant à explorer. </div><br />
Love And Radiation - Three Kingdoms<br />
<iframe frameborder="no" height="166" scrolling="no" src="https://w.soundcloud.com/player/?url=http%3A%2F%2Fapi.soundcloud.com%2Ftracks%2F74726219" width="100%"></iframe>Axurhttp://www.blogger.com/profile/03903809989385407194noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-5689537348519226645.post-85575859359040948552013-02-26T19:00:00.000+01:002013-02-26T23:26:09.960+01:00Hyperbubble + Manda Rin = In The Movies<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgq12MtEd3XX808SnnNtC17Ujn7lwR2y__5Kyf2gvUid5G-rqCkUs1VKHh7rf_RfK-ExDknnfh1SbqHXlDXwjDMK2VF0FAWtDZ4w9HrQ4oZOpxsJwEFfyFicHv6hJtqQ3m6GfhiVC1KcA/s1600/Hyperbubble+Manda+Rin.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgq12MtEd3XX808SnnNtC17Ujn7lwR2y__5Kyf2gvUid5G-rqCkUs1VKHh7rf_RfK-ExDknnfh1SbqHXlDXwjDMK2VF0FAWtDZ4w9HrQ4oZOpxsJwEFfyFicHv6hJtqQ3m6GfhiVC1KcA/s1600/Hyperbubble+Manda+Rin.png" /></a></div><div style="text-align: justify;">Les personnes en présence : <b>Hyperbubble</b> et <b>Manda Rin</b> qui ont décidé de s'unir le temps d'un EP. Il s'intitule par ailleurs <i><b>Hyperbubble + Manda Rin</b></i>. En lisant bien, l'ordre alphabétique a prévalu dans le choix du titre mais cette sobriété ne saurait cacher le fait que lorsque la pop sucrée de Manda Rin côtoie la bubblepop électrique du duo, cela crée entre autres un univers particulièrement décalé et savoureux où se mêlent synthétiseurs, animaux et espace. Pour peu que l'on soit réceptif. Qui plus est, le format est idéal pour cet exercice : ni trop long afin de ne pas frôler l'overdose ni trop court pour garantir un minimum de plaisir.</div><br />
<div style="text-align: justify;">On s'en serait douter, les deux parties vouent un culte pour les chats. C'est précisément le thème du cartoon illustrant <i>"In The Movies"</i>. Ou plutôt, tout porte à croire que <i>"In The Movies"</i> fait office de générique. Instantané, ce morceau pop n'a nul autre prétention que d'offrir un moment d'amusement (une des facettes de l'EP), pour notre plus grand plaisir, évidemment. Autant être ludique jusqu'au bout, différentes références cinématographiques disséminées dans le cartoon ci-dessous sont à recherchés activement, avec récompense à la clé : </div><br />
<center><iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="411" mozallowfullscreen="" src="http://player.vimeo.com/video/60259979" webkitallowfullscreen="" width="560"></iframe></center>Axurhttp://www.blogger.com/profile/03903809989385407194noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5689537348519226645.post-47378066243178399692013-02-20T18:00:00.000+01:002014-06-23T00:44:23.257+02:005 titres en scène<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhVerfK7vDuWuGPJWLOXthEG-vDyWwu63loutobkeWNA7LlE4BFH_8ZwSIWKw_DC-OQNDLi-mAowKwOVCCv5rm5bDXmUFRkpyu9aTrU0I4J0SmGvKuXsUC6dy5MKT4nk-v14cUjbbcdJw/s1600/Makeup+and+Vanity+Set+session+film.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhVerfK7vDuWuGPJWLOXthEG-vDyWwu63loutobkeWNA7LlE4BFH_8ZwSIWKw_DC-OQNDLi-mAowKwOVCCv5rm5bDXmUFRkpyu9aTrU0I4J0SmGvKuXsUC6dy5MKT4nk-v14cUjbbcdJw/s1600/Makeup+and+Vanity+Set+session+film.png" /></a></div>
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En de rares occasions, lorsqu'un titre passe, on ne peut s'empêcher d’associer un instant ce morceau à une scène, un endroit dans lesquels chaque détail colle à l'ambiance déployée, aux nuances de la mélodie faisant plus corps que fond sonore. Que le film en question existe ou pas d'ailleurs. Il faut quand même le souligner, des artistes forcent un peu notre imagination, de manière inconsciente ou non. Cinq titres où les arpégiateurs dominent entrent dans cette catégorie pour des raisons plus ou moins évidentes. Le choix est vaste : la mélodie concrétise un voyage traversant les hautes couches de l'atmosphère, marque une rencontre relevant de la science-fiction ou est de nature à ne pas troubler le calme ambiant d'un paysage lunaire et dévasté. Disponible aussi sur <a href="http://open.spotify.com/user/stebathor/playlist/2n2lqkcIq9s2fkkkw8f9E9" rel="nofollow" target="_blank">Spotify</a>.</div>
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Thermostatic - Northern Ambulance <a href="https://soundcloud.com/thermostatic/northern-ambulance" rel="nofollow" target="_blank">**</a></div>
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The Mitgang Audio - Soldato <a href="http://suctionrecords.bandcamp.com/track/soldato" rel="nofollow" target="_blank">**</a></div>
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Alaska In Winter - Crystal Tears <a href="http://alaskainwinter.bandcamp.com/track/crystal-tears" rel="nofollow" target="_blank">**</a></div>
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Makeup And Vanity Set - The Cross <a href="http://makeupandvanityset.bandcamp.com/track/the-cross-2" rel="nofollow" target="_blank">**</a></div>
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Wolfram - Roshi <a href="http://www.youtube.com/watch?v=_Kv1iH5H9y4" rel="nofollow" target="_blank">**</a></div>
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<br />Axurhttp://www.blogger.com/profile/03903809989385407194noreply@blogger.com0